extraits:
http://gizmodo.com/5553765/are-cameras-the-new-guns
traducteur automatique google
En réponse à un flot de Facebook et des vidéos YouTube, qui illustrent les abus policiers, une nouvelle tendance en matière de répression gagne en popularité. Dans au moins trois États, il est désormais illégal d'enregistrer n'importe quel agent de police en service.
Même si la rencontre vous concerne et peut être nécessaire pour votre défense, et même si l'enregistrement est sur un chemin public où aucune expectative de vie privée existe.------
Il y a quelques semaines, un juge a rejeté une motion Illinois de rejeter une accusation contre les écoutes Christopher Drew, qui a enregistré sa propre arrestation pour vendre oeuvre d'un dollar dans les rues de Chicago. Bien que les accusations délit de ne pas avoir un permis de colporteur et le trafic dans une zone interdite ont été abandonnées, Drew est poursuivi pour enregistrement illégal, un crime passible de la classe I de 4 à 15 ans de prison.
En 2001, lorsque Michael Hyde a été arrêté pour violation de la loi pénale de l'État de surveillance électronique - aka l'enregistrement d'une rencontre de police - la Cour suprême du Massachusetts a confirmé sa condamnation 4-2. En dissidence, le juge en chef Margaret Marshall a déclaré: «Les citoyens ont un rôle particulièrement important à jouer dans la conduite officielle en cause est celui de la police. Leur rôle ne peut être effectuée que si les citoyens doivent craindre des représailles pénales ...."------
Le 5 Mars moto de 24 ans, Anthony John Graber III a été intercepté pour excès de vitesse. Il est actuellement confrontée à des accusations criminelles pour une vidéo, il a enregistré sur son casque-caméra montée au cours de l'arrêt de la circulation.
L'affaire est inquiétante parce que:
1) Graber n'a pas été arrêté immédiatement. Dix jours après la rencontre, il a affiché certaines des matières il à YouTube, et il gêné Trooper JD Uhler. Le cavalier, qui était en civil et une voiture banalisée, sauta en brandissant une arme à feu et des cris. Plus tard seulement, Uhler s'identifier comme un agent de police. Lorsque la vidéo YouTube a été découvert par la police lors d'un mandat contre Graber, fouillé la maison de ses parents (où il vit sans doute), matériel saisi, et le chargea d'une violation du droit de l'écoute électronique.
2) Baltimore avocat de la défense pénale Steven D. Silverman a dit qu'il n'avait jamais entendu parler de la loi d'écoute électronique du Maryland être utilisé de cette manière. En d'autres termes, dans le Maryland a rejoint la tendance croissante de la criminalisation de l'acte d'enregistrement abus de la police------
Miller Carlos à la La photographie n'est pas un crime site propose une explication: "Pour la deuxième fois en moins d'un mois, un agent de police a été reconnu coupable d'éléments de preuve obtenus à partir d'une cassette vidéo. Le premier officier a été condamné à New York City Police Officer Patrick Pogan, qui n'aurait jamais subi de procès avait il pas été pour une vidéo postée sur YouTube montrant le corps de claquer un cycliste, avant son inculpation pour voies de fait contre un agent. Le second officier a été condamné à Ottawa Hills (Ohio) un agent de police Thomas White, qui a tué un motocycliste dans le dos après une arrêter la circulation, de façon permanente paralyser le jeune homme de 24 ans. "
Lorsque la Loi sur la police, comme si les caméras ont été l'équivalent d'armes à feu braquée sur eux, il y a un sens dans lequel ils sont corrects. Caméras sont devenus l'arme la plus efficace que les gens ordinaires doivent se protéger et pour exposer les abus policiers. Et la police veut que ça s'arrête.Heureusement, alors même que la pratique consistant à arrêter "shooters" se développe, il y a des signes de réaction efficace. Au moins une compétence de la Pennsylvanie a réaffirmé le droit à la vidéo dans les lieux publics. Dans le cadre d'un règlement avec les procureurs de l'ACLU, qui représentait un arrêté "shooter", la police de la ville au printemps et de l'Est Vincent canton a adopté une politique écrite permettant l'enregistrement de policiers en service.
FLOG
La question première
La question première est de connaître les arguments en faveur ou en défaveur d'un web qui soit "social par défaut"
Cette question doit pouvoir se traiter à
partir de la psychologie du moi. Selon l'hypothèse de la
psychanalyse, il n'y aurait pas de psychologie collective - ni au
demeurant de psychologie individuelle - sans la fonction du moi.
Le moi n'existerait pas non plus sans à la fois une
psychologie collective et une psychologie individuelle et s'il n'exerçait
pas sa fonction qui est celle de l'homéomorphisme entre les deux.
figure tirée de La Sainte Ethique (fig.C3.80) :
On voit le moi occupant l'espace entre les
psychologies individuelle et collective (gauche et
droite)
La cybernétique pourvoit à l'expression de cette fonction : sans cybernétique, il n'y aurait pas de 'moi' et, avant qu'il n'y ait eu de cybernétique le moi n'était jamais qu'en élaboration - passant d'une psychologie bicamérale où il n'existait pas encore à une période de construction dénommée civilisation. Au terme de cette civilisation, le moi est achevé et, si elle a réussi, il accomplit sa fonction.
Le moi s'exerce donc dans un espace psychologique qui compte une société équipée de cybernétique qui puisse doter celle-ci d'une psychologie collective. Tous les indicateurs historiques actuels désignent le web, l'Internet et ses réseaux sociaux, comme la plus probable organisation de cet équipement. Si cette indication est juste le web est nécessairement social par défaut - parce qu'en résumé : il est l'organe par lequel la société est dotée d'une psychologie sans laquelle le moi de l'humanité ne serait pas acquis.
Je mentionne ici le terme d' 'humanité' en tant
que qualité, attribut de la personne qui de son fait est désignée
humaine. Avant les temps présents, le moi était à venir ;
actuellement un corps humain peut être intégralement doté d'humanité -
son moi qui n'était jusqu'alors qu'une image visée à travers ses
idéaux, est à présent une effective structure subjective acquise en
rapport avec une psychologie individuelle, objective, et une psychologie
collective, objective également en terme de ce web social.
C'est dans ce milieu que cette expression développée de
l'être humain doit entretenir, trouver et retrouver les règles de
l'identification.
Le flog est une procédure qui applique et entretient ces
règles - de même que certaines procédures, que l'on trouve par exemple
en FaceBook appliquant et entretenant également ces règles.
Le PIC a pour mission, rôle ou fonction, d'étudier ces
règles, éventuellement de les déchiffrer et d'opérer, veiller et
entretenir leur application.
Quelques personnes ont déjà
commencé cette expérience,
art ou mode de vie:
| Au moment où la technologie permet de
porter aussi banalement que des lunettes, en ce cas équipée
d'une camera, minuscule et reliée à un appareil téléphonique
également banalement équipé d'une fonction 4G pour transmettre
en permanence ce que capte la caméra : à moindre coût et pour
une maintenance minime, une personne tout au long de la journée
peut enregistrer comment sa vie se déroule, son GPS sans plus
d'effort localise se déplacement etc.. tout cela est stocké,
sans plus d'intervention, en permanence sur une mémoire, disque
dur ou plus moderne qui l'archive.
Toutes les relations que cette personne entretient sont également enregistrée, ses conversations, ce qu'il lit, voit, entend ou écrit. Nous avons là une illustration pure et simple d'un flog vivant. Tel est ce que réalise, simplement sur une page, un flog. Il est en réalité beaucoup plus limité que cette personne qui enregistre en permanence sa vie. Pour comprendre les problèmes émotionnels et légaux qu'il pose, il faut raisonner à partir de l'expérience de ces vies enregistrées. Peut-on interdire, contrarier ou limiter cette expérience ? Quelles bornes et règles va-ton appliquer à la volonté d'une personne d'enregistrer et d'archiver en mémoire ses perceptions et ce qui l'a impressionnée chaque jour durant de sa vie ? |